Les archives de l’ensemble pastoral d’Asnières-Centre recouvrent les trois lieux de culte : la paroisse Sainte-Geneviève, la chapelle Saint-Daniel et la paroisse Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours. Les archives sont constituées de l’ensemble des documents, quelle que soit leur date ou leur nature, produits ou reçus par la paroisse pour ses besoins ou l’exercice de ses activités et conservés pour leur valeur d’information générale.

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Elles recouvrent tous les documents produits dans le cadre des diverses activités de la paroisse : pastorale, liturgique, administrative, financière, patrimoniale et juridique. Ces documents écrivent l’histoire de la communauté chrétienne de la paroisse.

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Patrimoine de l’Église, les archives paroissiales font partie intégrante des archives du diocèse. Ce sont des biens culturels inaliénables et imprescriptibles, régis par les règles internes de l’Église, c’est-à-dire par le droit canonique, par les documents dictés par la Conférence des évêques de France, par l’Association des archivistes de l’Église de France ou par l’évêque du diocèse. Au regard de l’article 1.211-5 du Code du patrimoine, ce sont des archives privées.

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Le service des archives paroissiales collationne aussi la paramentique (vêtements et tissus liturgiques), les tableaux et objets d’art, etc., en se référant à l’inventaire fait par l’État lors de la séparation de l’Église et de l’État en 1904-1905 et aux inventaires faits par le diocèse de Nanterre. Elles sont conservées en l’église Sainte-Geneviève d’Asnières.

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J’ai été nommé à cette fonction par le père Didier Rapin en décembre 2023 et une équipe a été constituée avec Nicole Guibout et Emmanuel Pemkala, avec l’aide de Manuel Lopes, maître de maison de l’église Sainte-Geneviève. Cette fonction était auparavant occupée par Éliane Barré, décédée en 2023. Elle a accompli un énorme travail sur les anciennes églises qui se sont succédé à Sainte-Geneviève et sur l’abbé Jubé, qui a reconstruit celle-ci au début du XVIIIᵉ siècle.

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Nous avons découvert ainsi qu’à Sainte-Geneviève, il existait une chapelle du château, à l’emplacement de la chapelle du Saint-Sacrement et de la Vierge, et qu’à NDPS un clocher devait être construit avec au sommet une Vierge tenant l’Enfant Jésus, dans l’esprit de la Vierge et de l’Enfant qui se trouvait au sommet de la basilique Notre-Dame-de-Brébières (1895) d’Albert (Somme), ville martyre de la guerre de 1914-18 détruite à 98 %. De la basilique ne subsista que la tour penchée du clocher avec la statue dorée de la Vierge et de l’Enfant… signe, s’il en est, d’espérance.

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Nous avons besoin de vous. En effet, il y a de nombreux trous dans l’histoire de nos paroisses et nous vous remercions si vous pouvez nous confier tel numéro de l’Aubépine (journal créé en 1952) ou l’Écho d’Asnières, ou d’anciennes photos, ou plus actuelles, des devis ou des suivis de travaux que certains d’entre vous avaient suivis ou suivent, des feuilles d’informations paroissiales, etc.

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D’avance merci !

Gérard LEGRAND, archiviste - catherine.gerard.legrand@gmail.com