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Joyeux et fraternels avec le Christ !

Edito - Pôle Solidarité

Le Pôle Solidarité de la paroisse d’Asnières-Centre a été créé il y a 5 ans environ par son curé, le Père Didier Rapin, avec pour mission de coordonner les actions et de créer du lien entre les associations des trois clochers qui prennent soin des personnes en situation de fragilité.

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Actuellement, ce Pôle regroupe une dizaine d’associations dont des antennes locales de mouvements nationaux (Secours Catholique, Saint-Vincent-de-Paul, CCFD, AFC, Ordre de Malte…), des associations strictement locales (L’Étape, Hiver Solidaire, Compagnons de Saint-Gilles, AMA) et des services paroissiaux (aumônerie en maisons de retraite).

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Nous avons en commun bien des problématiques, notamment l’appel et la fidélisation des bénévoles, leur formation et motivation. Outre nos échanges sur ces sujets de fonctionnement, c’est toujours une joie de nous rencontrer et de partager nos expériences si enrichissantes sur le plan humain, leçons de modestie, de résilience et d’espérance.

Luc Fichter, responsable du pôle Solidarité des paroisses d'Asnières Centre
Luc Fichter, responsable du pôle Solidarité des paroisses d'Asnières Centre

Le déjeuner fraternel qui aura lieu à Saint-Daniel à 12h30 sera pour nous l’opportunité de rencontre et d’échange sans fard avec les personnes que nous accompagnons dans chacun de nos groupes.

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L’attention aux plus démunis nous est rappelée par notre Pape Léon XIV dans son Exhortation apostolique DILEXI TE de juin 2025 : « S’il est vrai que les pauvres sont soutenus par ceux qui ont des moyens économiques, on peut également affirmer avec certitude l’inverse. C’est une expérience surprenante attestée par la tradition chrétienne et qui devient un véritable tournant dans notre vie personnelle, quand nous nous rendons compte que ce sont précisément les pauvres qui nous évangélisent. De quelle manière ? Dans le silence de leur condition, ceux-ci nous confrontent à notre faiblesse. La personne âgée par exemple, de par la fragilité de son corps, nous rappelle notre vulnérabilité, même si nous essayons de la cacher derrière le bien-être ou les apparences. De plus, les pauvres nous font réfléchir sur l’inconsistance de cet orgueil agressif avec lequel nous affrontons souvent les difficultés de la vie. En substance, ils révèlent notre précarité et la vacuité d’une vie en apparence protégée et sûre. »

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À la joie de nous retrouver nombreux dimanche !