Merci pour votre implication !
Il faisait beau ce 18 octobre dernier à Saint-Daniel. Une température idéale a permis de donner un coup de jeune aux espaces extérieurs de « l’espace Saint-Daniel » : une couche ou 2 de peinture et vernis sur les portes, du débarras sélectif dans notre réserve, quelques branches abattues, et un coup de balai ça ou là.
-
Nous étions une petite vingtaine tantôt le matin, tantôt l’après-midi, des paroissien(ne)s, des Chevaliers de Colomb, des malentendants si faciles à être compris entre gestes et sourires, et le Père Didier partageant avec nous un déjeuner barbecue familial des plus convivial. Enfin, de l’amitié et le bon Dieu au milieu de nous.
-
Merci à tous pour vos talents manuels, votre disponibilité, votre bonne humeur, vos sourires ; et probablement, le Talent de l’Évangile portait-il ce jour le nom de « Service » ?
À Lourdes, aux pieds de la très sainte Vierge Marie, mère de l’espérance
Du 18 au 22 octobre, notre diocèse de Nanterre avait organisé un pèlerinage à Lourdes autour du thème : « Avec Marie, Pèlerins de l’espérance ».
Ce grand rendez-vous de foi et de communion spirituelle et fraternelle était soutenu par les célébrations eucharistiques dans les basiliques de l’Immaculée Conception, de sainte Bernadette, de saint Pie X et à la Grotte de Massabielle ; par la pratique des sacrements de la miséricorde divine et des malades ; les processions mariale, eucharistique et à la Chapelle de la Lumière, les chemins de croix de la prairie avec les malades et des Espélugues ; l’excursion à Bartrès dans la bergerie de sainte Bernadette ; les Laudes et les enseignements de notre père évêque monseigneur Rougé, chaque matin essentiellement sur l’exhortation apostolique du saint-Père Léon XIV « Dilexit te » (Je t’ai aimé) ; sans oublier la veillée de louange animée par le groupe PRAISE.
Cette belle expérience ecclésiale de joie et de ferveur avait rassemblé 950 pèlerins dont 200 jeunes, 455 au sein de l’Hospitalité avec 88 malades, 495 venant des paroisses, 27 prêtres ainsi que 8 diacres. Au sein de cette communauté pèlerine, nous étions 10 au compte de nos paroisses d’Asnières. Dans nos échanges d’exceptionnelle ouverture, les uns et les autres étaient heureux de partager les fruits de leurs rencontres personnelles avec la sainte Vierge Marie de même que ceux de leur cœur à cœur avec le Seigneur Jésus. C’est le cas entre autres d’Annie qui redécouvrait l’inépuisable bonté de Dieu à son égard et l’invitait par la même occasion à devenir missionnaire d’amour et d’espérance.
-
Pour sa part, Béatrice, avec des larmes de joie, exprimait l’intense chaleur ressentie au plus profond d’elle au moment de l’onction des malades qu’elle venait de recevoir. À ce pèlerinage qui était son cinquième, elle découvrait un véritable cheminement d’approfondissement de sa foi depuis le premier. Sa lettre à Marie nous en dit long : « Marie, je te remercie pour ce jour. C’est la cinquième fois que je viens, et à chaque séjour, j’ai vécu une expérience différente qui me montre un cheminement. Avec le recul, je peux qualifier chaque séjour avec quelques mots : l’apaisement, le regard bienveillant sur le prochain afin de l’accompagner, la résurgence des émotions longtemps gardées enfouies, l’écoute et le partage avec l’autre, l’espérance d’une guérison nourrie par l’onction des malades reçue. Merci Marie ! J’espère de tout cœur avoir l’occasion de revenir dans ce si beau sanctuaire afin de me découvrir davantage, de connaître le monde et d’aimer l’Église ».
-
Ces témoignages ainsi que bien d’autres attitudes, notamment l’implication généreuse d’un grand nombre de jeunes gens dans l’équipe de l’hospitalité, témoignent de serviteurs heureux au nom du Christ pour le soulagement et la guérison de tant de malades.
-
Ensemble avec Marie, notre espérance d’un monde plus fraternel, de chrétiens plus engagés dans le témoignage évangélique et d’une Église sacrement du cœur miséricordieux du Christ s’est ravivée. Nous sommes pèlerins de l’espérance, de cette espérance qui ne sera jamais déçue.
-
Père Raphaël LAMAH
Quel tourbillon d’espérance nous a entraînés fin septembre à Asnières. En orange, couleur d’automne, le parcours missionnaire était fléché pour se rencontrer, s’inspirer, se dynamiser.
L’équipe Église verte s’était proposée pour animer un petit temps de prière pour la Création après la messe de samedi matin. Des tournesols au pied de l’autel, nous avons confié des coins de nature et des peuples touchés par les atteintes faites à notre maison commune. Et autour d’une table fleurie de plantes aromatiques, nous avons échangé sur des rêves et des projets d’écologie intégrale à commencer par une première balade autour des arbres bibliques.
Certes, on était entre nous alors qu’on rêvait que les graines missionnaires essaiment en toute terre. Mais déjà entre paroissiens, la moisson de dialogues était abondante. Croiser les regards de ceux qui forment, qui tendent la main, qui s’engagent auprès des jeunes. Chacune, chacun, à hauteur des temps libres entre travail, éducation, projets, sollicitations multiples de la vie citadine offrent quelques heures de leur temps au service du bien commun. Quelle
source d’admiration !
Claire de l’équipe Église Verte témoigna de la manière de prier pour la Création, de former par le parcours Christ vert, d’être solidaire en jardinant les terrasses maraîchères avec des personnes en insertion, avec les jeunes du patronage. Yallah ! Laudato Si pour tes merveilles !
Estelle Grenon – Eglise verte
À écouter le père Jean-Marie Crespin, finalement, aller évangéliser paraît presque simple. Il suffit de se mettre en habit de service (prier l’Esprit Saint et se laisser mener par lui), savoir juste dire « bonjour, je suis heureux de vous rencontrer, pourrions-nous échanger… ». Il nous faut accepter d’être présent et de nous laisser être un instrument au service du Seigneur. Dieu lui-même nous précède toujours dans le cœur des gens et dans le cœur du monde.
Évangéliser, c’est l’accomplissement de son propre baptême. Le père nous invite à prier pour savoir discerner à quoi le Seigneur m’appelle, moi.
Évangéliser c’est aussi répondre au monde d’aujourd’hui qui a tellement besoin de notre force. En nous invitant à nous appuyer sur le discernement de l’Esprit selon Saint Ignace, le père nous emmène jusqu’à un auteur qui lui a tellement fait découvrir la magnificence et la beauté des mystères chrétiens. Il n’est pas certain que les paroissiens montent des groupes de lecture pour lire ensemble Le génie du christianisme de Chateaubriand mais il est sûr que
ce matin-là, chacun de nous est reparti avec cette question : moi, qu’est-ce que j’admire et souhaite transmettre ?
Nous sommes partis de notre côté avec Hervé. Nous avons d’abord rencontré un musulman d’environ 50 ans, Ibrahim, au square Joffre. Nous avons eu une magnifique discussion avec cet homme qui a manifestement une relation vivante à Dieu. C’était un moment simple d’amitié, de souhait de se comprendre davantage. Il a terminé en disant qu’il aimerait se retrouver régulièrement avec des chrétiens ou des juifs pieux pour apprendre à mieux se
connaître.
Notre dernière rencontre nous a permis de connaître une paroissienne d’environ 60 ans, Pauline, qui s’est convertie récemment après un passage à l’hôpital. Elle a reçu le sacrement de l’eucharistie et de la confirmation récemment, et est heureuse de participer régulièrement au chapelet paroissial.
Joie d’avoir vécu ces rencontres suscitées par l’Esprit-Saint, et joie d’avoir participé à la belle veillée de louange et d’adoration hier. Merci à l’équipe qui a organisé tout cela !
Certains prêtres des huit diocèses de la région parisienne se sont rencontrés, le lundi 17 juin pour jouer au foot à Villepinte. Parmi eux, il y avait les pères Raphaël, Gasny et Aniceto qui jouaient pour le diocèse de Nanterre. C’était un très bon moment de fraternité sacerdotale. Notre diocèse a remporté la troisième place et nous pensons que l’année prochaine nous serons champions. Le sport est “joie de vivre, jeu, fête” disait saint Jean-Paul II en 1984. Oui, chers paroissiens, le sport est une joie qui se partage, se communique, se transmet.
« Rendons grâce à Dieu pour le don du sport, dans lequel l’homme exerce le corps, l’intelligence, la volonté, en reconnaissant dans ces capacités tout autant de dons de son Créateur » Jean-Paul II, 2000, jubilé des sportifs.
L’espace était initialement prévu pour abriter deux pièces distinctes. Mais en attendant la construction du bâtiment annexe permettant de disposer d’une grande salle, il a été décidé de ne pas cloisonner la « grande pièce » au bout du couloir dans les annexes de Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours. C’est ainsi qu’est née la salle Sainte Faustine.
Elle rend d’immenses services mais, n’ayant pas été prévue pour de grands groupes, elle était très bruyante et des travaux d’insonorisation se sont avérés indispensables.
Sous la houlette de Marie-Noëlle de Sevin, quelques paroissiennes ont défini les emplacements et dimensions des panneaux à prévoir, les couleurs des tissus pour les habiller, puis leur installation a été réalisée par un petit groupe de paroissiens. Cette mobilisation bénévole (une vingtaine d’heures entre fin octobre et début février) a permis de
limiter les frais à l’achat des matériaux nécessaires.
Le résultat est là, les commentaires sont unanimes : c’est efficace et très beau ! Et comme ces panneaux sont installés en respectant le plan des cloisonnements futurs, il ne sera même pas nécessaire de les déplacer lorsque ceux-ci seront réalisés…
La Conférence Saint-Vincent-de-Paul d’Asnières remercie chaleureusement tous les paroissiens pour leurs dons aux quêtes des 14 et 15 octobre 2023 : ces dons ont formé un total de 1 112,73 euros, soit plus du double de l’an passé.
Cette somme permettra d’engager des actions d’aide ponctuelle non seulement pour les personnes isolées visitées (plus d’une vingtaine à ce jour) mais également de répondre aux sollicitations d’urgence reçues dans l’année.
La Conférence est prête à accueillir tout nouveau membre qui souhaiterait assurer une visite d’une heure tous les quinze jours dans un esprit spirituel et d’équipe.
Thierry FOYARD
Président
Abbé Daniel JOËSSEL
L’abbé Daniel JOËSSEL est né le 15 Juillet 1908 à Audincourt (Doubs, 25), il fût vicaire à Sainte-Geneviève d’Asnières de 1935 à 1940.

Lors de la seconde guerre mondiale, l’abbé Daniel est lieutenant au 30ème RA (Régiment d’Artillerie). Il est déclaré “Mort pour la France” le 30 mai 1940 à Ciney en Belgique.
Il est inhumé à NDPS le 20 novembre 1949.
Lien pour la neuvaine : Neuvaine de prière abbé Jo
Pour toutes Grâces et autres informations : Adressez-vous à
Paroisse de Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours – 31 Rue Albert 1er 92600 Asnières-sur-Seine
(Lieu de son inhumation)
Email : abbejoasnieres@gmail.com
Site Internet : abbejo.com
Une cinquantaine de paroissiens ont bravé l’hiver pour venir écouter Sylvette TOCHE, secrétaire de la Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l’Église (CIASE) lundi 17 janvier 2022.
Sylvette TOCHE a souligné en introduction, en tant que non pratiquante, le courage de l’Eglise Catholique d’être la première institution à traiter le sujet en faisant appel à une commission indépendante, à la suite du refus du Sénat de créer une commission d’enquête parlementaire.
La CIASE, créée en novembre 2018 et présidée par Jean-Marc SAUVE, a fait travailler pendant 3 ans 21 personnes bénévoles ayant des origines et des compétences différentes pour une approche multidisciplinaire. Même la parité H/F a été respectée !
Les travaux se sont déroulés en plusieurs phases :
3 mois de réflexion pour définir le sujet et la méthodologie
De quoi parle-t-on ? les abus sexuels dans l’Eglise Catholique de France et la façon dont celle-ci a traité le sujet sur une période d’observation très longue (1950 à 2020). La France de 1950 était encore coloniale et la notion de personne vulnérable très différente de ce qu’elle est aujourd’hui.
Méthode : d’abord donner la parole aux victimes, consulter les archives, interroger les prêtres abuseurs et l’institution Eglise.
Les victimes
Les premiers travaux ont consisté en des appels à témoignage avec l’aide des médias et de France Victimes. Une plateforme téléphonique a fonctionné de juin 2019 à septembre 2020. La commission s’est aussi déplacée dans les territoires (sauf en PACA à cause de la pandémie).
3 000 témoignages environ ont été obtenus (plus de 2 000 victimes et 800 témoins proches) par des binômes d’écoutants.
L’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) a mené deux enquêtes
- Auprès des personnes qui ont répondu (non représentatives de la population)
- En population générale (28 000 personnes).
A partir de ces enquêtes, l’INSERM a évalué le nombre de victimes de prêtres en 70 ans à 216 000 et si on ajoute les abus par des laïcs dans le cadre de l’Eglise à 300 000 victimes.
Durant cette même période on estime à 5,5 millions de personnes (10 % de la population d’adultes) le nombre total de victimes d’abus sexuels. Abus perpétrés d’abord en famille, puis par des amis puis par des proches puis en institution. Mais l’Eglise est de loin l’institution où le plus grand nombre d’abus ont eu lieu (deux fois plus qu’à l’école), avec cette caractéristique que les victimes sont à 80 % des garçons, alors dans tous les autres lieux les victimes sont principalement les filles.
La Commission Indépendante sur l’Inceste et les VIolences Sexuelles faites aux Enfants (CIIVISE) créée par l’Etat a repris la méthodologie de la CIASE.
Les prêtres agresseurs
- Analyse d’archives dans les diocèses et les instituts religieux, les archives de la justice (autorisation donnée par le ministère de la Justice) et celles de la presse.
- Entretiens qualitatifs par l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE)
- Prêtres agresseurs
- Prêtres et séminaristes
- Analyse de 30 dossiers d’archives judiciaires par un psychologue.
La conclusion de cette partie de l’enquête est que le nombre plancher de prêtres abuseurs est de 3 000. La réalité est certainement supérieure car
- Il s’agit d’un secret partagé : pour diverses raisons les victimes n’ont pas parlé (honte, amnésie traumatique) ou n’ont pas été entendues par leurs parents ou l’affaire a été étouffée par l’institution voire par l’Etat. Il y a eu très peu de plaintes à la justice.
- La majorité des abus est constatée dans les années 50 – 60, il y a un effondrement dans les années 70 – 90 une remontée dans les années 2000 et un plateau depuis.
La principale raison est que dans les années 50 – 70 les prêtres enseignants étaient nombreux, depuis il y a moins de prêtres, qui ont moins de contacts avec les enfants.
L’institution Eglise
4 groupes de travail ont été créés à partir des travaux de l’INSERM et de L’EPHE
- Droit canonique – droit étatique : la loi nationale impose qu’un crime soit signalé
- Evaluation des mesures prises par l’Eglise : grande hétérogénéité
- Victimes et réparation : en premier, reconnaître qu’ils sont victimes et qu’on ne peut pas faire n’importe quoi avec un enfant. Ensuite seulement parler de réparation.
- Gouvernance de l’Eglise : analyser théologique et ecclésiologique, dont il ressort que l’évêque est très seul (le prêtre aussi est très seul) et cumule tous les pouvoirs, ce qui n’est pas raisonnable.
Echanges avec l’assemblée :
De nombreuses recommandations sont faites dans le rapport et ses annexes (pavé de 2 500 pages).
Un certain nombre concernent les prêtres : discernement lors de l’entrée au séminaire (la vocation ne fait pas tout, la personne est-elle en mesure de faire face à ses difficultés personnelles ?) ; formation ; accompagnement ; contrôle de l’éloignement si problème.
Le rapport met aussi en évidence que les violences sexuelles sont souvent liées à la manipulation par emprise spirituelle et abus de pouvoir. Cela a été découvert au fur et à mesure, par les abus sur adultes.
La prévention consiste à cesser de considérer le prêtre comme étant en position « surplombante » et à préparer les enfants, leur apprendre à refuser.
La commission Cristnacht est saisie des cas des prêtres agresseurs après leur condamnation par la justice et émet des recommandations. Un suivi peut-il être organisé ?
Une recommandation du rapport sur le gouvernement de l’Eglise est de séparer les pouvoirs et d’augmenter la collaboration prêtres – laïcs.
La rencontre se termine avec cette question : quelle(s) suite(s) donner dans nos paroisses à cette soirée riche d’enseignements et de réflexions ?
Henriette BROS-LEMOINE
Le dimanche 24 octobre 2021, 850 pèlerins partaient en train pour cinq jours à Lourdes avec notre évêque Monseigneur Matthieu Rougé. Nous étions 10 d’Asnières.
Ce fut un temps fort en ce lieu si hautement spirituel où se côtoie la souffrance et la joie.
Nous avions conscience que nous étions les représentants de tous ceux qui n’avaient pas pu venir.
Ces jours ont été comme une retraite du diocèse, avec une présence permanente de notre évêque.
Chacun a été touché de manière différente, mais nul n’est revenu indemne : ce temps a permis de très riches rencontres et des moments intenses de prière personnelle.
Ces jours ont été rythmés par de belles célébrations comme :
- l’Office des Laudes chaque matin, entrainé par la chorale du diocèse, la messe quotidienne soit à la Grotte, soit à la Basilique Souterraine avec la messe internationale qui nous a projeté dans l’Église universelle
- la procession aux flambeaux qui ont fait scintiller 1 800 lumières dans l’espace des sanctuaires
- le sacrement de réconciliation donné par les prêtres du diocèse
- la bénédiction des malades après l’adoration silencieuse
- le sacrement des malades reçu par plus de 120 pèlerins.
Notre évêque a alors mis en exergue, ces trois verbes qui résonnent à Lourdes de manière si particulière : Entendre, Toucher et Guérir.
Un soleil de chaque jour qui au retour était aussi dans le cœur de tous.
Gabriel de Sevin,
Diacre
Fioretti glanés au retour du pèlerinage à Lourdes
Les pèlerins d’Asnières expriment leur joie au retour de Lourdes :
“Ce pèlerinage m’a fait prendre conscience de faire partie intégrante de l’Église. Je prends de l’âge, je suis moins mobile, mais j’ai compensé par de longs temps de prière à la Grotte.”
“Ce temps a été pour moi un beau ressourcement :
Joie de faire partie de la chorale diocésaine et de servir ainsi la liturgie.
Joie d’avoir retrouvé le sacrement de réconciliation, d’avoir accompli le chemin de Croix !
Beaucoup de souffrances et de joie sont réunies simultanément en ce lieu.
À Lourdes nous prenons nos souffrances sur nos frêles épaules : les nôtres et celles de tous les malades dont la présence force la compassion. Joie de les voir repartir plein de joie, d’espérance et de paix intérieure.”
“Quel beau moment que l’office des Laudes chanté par tout le diocèse chaque matin !
Nous y arrivions de nuit et en sortant, l’esplanade comme nos âmes, était baignée dans la lumière !”
“La messe à la Grotte m’a aidé à croire comme Marie au pied de la croix et à espérer contre toute espérance.”
“Émotion de voir la flamme de tous les cierges qui continue la prière de chaque pèlerin !”
“Joie de voir toutes les intentions de prière de chacun rassemblées et portées à l’autel à l’offertoire de la messe à la Grotte.”
“Le sacrement des malades, donné à 120 d’entre eux m’a beaucoup impressionné par la paix qui s’en dégageait. Comme le dit notre évêque, le sacrement des malades est le plus tactile des sacrements.
C’est un sacrement qui est une rencontre avec Dieu où nos corps sont partie prenante.”
“Quel bel engagement que celui de l’hospitalité : beaucoup de jeunes notamment se mettent au service des malades.”
Et en action de grâces :
“Heureux les invités au festin des noces de l’Agneau.
Ce pèlerinage est un don de Dieu pour nous faire avancer vers la Béatitude éternelle.
Marie a rempli nos cœurs de joie C’est un temps chaleureux pour contribuer à l’extension du feu de l’amour de Dieu.”
Nous avons tant reçu : pour le prochain pèlerinage, il faudra s’arranger pour que plus de paroissiens puissent venir !
Merci à Marie pour toutes les grâces reçues pendant et après !
Un grand merci à ceux qui ont acheté des places pour le concert de Natasha St-Pier !
Nous venons juste d’avoir les derniers chiffres. Nous étions près de 550 personnes à assister au concert. Avec les ventes des places, des CD et des médailles de NDPS, après déduction des frais, le bénéfice pour la paroisse s’élève à environ 4500€.
Mille mercis à tous, nous vous en sommes très reconnaissants !!! C’était une super soirée et une belle action.
Pour faire un point sur le chantier de Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours (budget total de 2,5 millions d’euros), il nous manque encore plus de 140 000€ pour achever la rénovation de ce sanctuaire marial commencé en 1936 (construction d’un bâtiment annexe comprenant un campanile, un accueil, un secrétariat paroissial et une grande salle polyvalente).
La grande campagne de souscription est donc prolongée.
Merci de votre générosité passée et future !